Monsieur Togbedzi TSIKO, Président du Comité Cantonal de Développement de SALIGBE.
Il a exprimé ses avis sur le programme en ces termes : « Je remercie les initiateurs de ce programme, car son avènement a permis d’améliorer les actions menées par le passé et de donner une ouverture aux autres localités. De nombreuses actions ont été menées tels que : les formations de renforcement de capacité des membres du bureau des CVD, CCD et de la chefferie ; un forage a été construit a Dékadé, le club environnement a également bénéficié de certains appuis techniques au niveau du CEG. Je souhaiterais que les formateurs renouvellent leurs formations pour que les communautés puissent mieux cerner l’intérêt qu’apporte le programme à la collectivité ».
Monsieur Komi ADJAHO, Président du Comité Cantonal de Développement d’Ahassomé.
Il a exprimé ses impressions en ces mots : « A travers ce programme, nous avons reçu des formations de renforcement de capacité sur la gouvernance locale, la promotion du leadership féminin. Certains groupements ont bénéficié des équipements servant à faire la transformation du manioc en farine de foufou, en gari et en tapioca, des hangars de marché ont été également construits à Ahassomé centre. Je remercie les initiateurs de ce programme et les encourage à continuer dans ce sens. Je propose qu’ils renforcent les capacités matérielles et financières des collectivités et mettent à leur dispositions des moyens pour mieux les aider à faire le suivi des actions dans les cantons afin de sensibiliser toute la communauté pour qu’elle soit imprégnée dans les actions menées par le PAGLOC ».
Monsieur Edoé WILSON, Président du Comité Cantonal de Wahala.
Pour lui : « Ce programme est une bonne initiative et bénéfique pour la communauté. Grâce à ce programme, on assiste à la promotion du Leadership féminin ; la réhabilitation des points d’eaux dans les villages de Tafia et Kédéou-copé; la construction de forage à Agokpa et un suivi au niveau du marché de Wahala centre qui a permis d’améliorer les recettes. Mais des attentes restent à combler. Il faudrait que les partenaires du programme puissent mettre des moyens à la disposition des bénéficiaires des formations pour leur permettre de pouvoir restituer ou retransmettre leurs acquis aux autres communautés qui forment le canton ».
Madame Biova AGBEKE, Présidente du Comité Cantonal du Développement de Tohoun.
Elle a exprimé ses opinions en ces termes : « Je suis très contente de l’avènement du programme en ce sens qu’il a éveillé les collectivités grâce aux différentes formations et sensibilisations faites. Le village de Gbondzinhoé a bénéficié de la construction d’un forage .Cependant nous manquons de moyens de déplacement et de communication ».
Monsieur Messan TENGUE, Président du Comité Cantonal de Développement de Notsè.
Pour lui : « Ce programme a fait bénéficier à nos collectivités des formations sur les enjeux de la décentralisation, la construction d’un forage dans le village de Agbédzrovi, la construction de hangars de marché dans le village de kpégadjè et des appuis aux initiatives locales tels que l’élevage de petits ruminants dans 7 villages. Nous avons besoin des moyens de déplacement pour pouvoir faire le suivi dans les autres villages qui forment notre canton afin de les sensibiliser et leur restituer nos acquis au cours des différentes formations suivies ».
Monsieur Tchoka AGBOKA, Président du Comité Cantonal de Développement de Katomé.
« Grâce au programme PAGLOC nous avons pu élaborer un document de référence contenant un problème auquel nous avons essayé de trouver des approches de solution et tout a été planifié par les cadres de concertation. Les membres des CCD et CVD ont été formés, les groupements ciblés ont été formés sur la transformation du manioc en ses produits dérivés et deux pompes ont été réhabilitées à Katomé et Bovimé. Les problèmes que nous rencontrons souvent sont ceux de mobilisation de la population, les autorités locales ne cernent pas encore le problème de développement et les villages ne sont pas bien encore structurés et organisés ».
Monsieur Kodjo Tsolevo AHOLOU, Président du Comité Cantonal de Développement d’Atchavé.
« L’arrivée du PAGLOC a changé beaucoup de choses dans notre localité. Un projet de territoire a été élaboré ; les agriculteurs ont été formés sur comment fertiliser les sols ; un forage a été construit dans le village d’Avédjé et 3 villages ont bénéficié d’appui en maraîchage. Nous souhaiterions que les initiateurs du programme mettent à notre disposition des moyens de déplacement et nous apporte des appuis financiers dans la gestion du carburant afin de nous faciliter les tâches ».
Monsieur Yaovi TOLEFO, Vice Président par intérim du Comité Cantonal de Développement de Djémégni.
« Avec le programme PAGLOC, plusieurs actions ont été menées telles que : la formation des membres du CCD, la réhabilitation de 2 forages, une sensibilisation de la population sur la décentralisation et la démocratie locale , la fertilisation des terres et une formation-sensibilisation a été faite sur l’hygiène et assainissement de village suivi d’un concours village propre dans 10 villages du canton couronné de prix. Nous prions les initiateurs de mettre des moyens de déplacement à la disposition des présidents des CDD ».
Monsieur Kokou DZENKPOVI, Président du Comité Cantonal de Développement de Tado.
«Je félicite les initiateurs de ce programme pour les efforts qu’ils déplorent pour le développement de nos localités. Le village de Tsodoho a bénéficié d’un nouveau forage, nous avons reçu beaucoup de formations très édifiantes et on nous a initié à cultiver du riz parfumé».
Monsieur FAWOUI Pouwèlong, Président du Comité Cantonal de Développement d’Haïto.
Il s’est exprimé comme suit : « En premier lieu, nous avons été formés sur la gouvernance locale et l’élevage dans 5 villages. A la fin de la formation sur la restauration et des sols, nous avons reçus des équipements d’agriculture ; cette restauration a pris en compte 3villages . Malgré les efforts qui sont faits, les difficultés ne manquent pas».
Monsieur Maurice Koku AGBODRA, Coordonnateur de zone Notsè de la Croix Rouge Togolaise.
Pour lui : « Ce programme est une très bonne initiative, on assiste à une amélioration dans nos localités. La santé sexuelle de reproduction des jeunes et adolescents et équité genre connaissent un essor pour un développement durable ; 5 forages ont été réhabilités 5 nouveaux construits. Je souhaiterais que d’autres acteurs sur le territoire soient aussi impliqués dans le bilan fait par les PDS et une collaboration parfaite avec les acteurs du programme ».
Monsieur Kodjovi ASSOGBA, de l’ONG Belle Porte (Notsè).
« Je trouve ce programme intéressant et bénéfique pour nos collectivités car certaines activités cadrent bien avec le programme. Cependant, toutes les actions planifiées n’ont pas pu être réalisées ».
Monsieur Sotomé FIAGAN, Directeur Général de l’Association « IAU » Initiations des Ainés Utiles – TOGO.
« A travers le PAGL2D, Il a été permis a notre association de prendre part à l’élaboration des PDT et aux initiatives locales (transformation du manioc en gari, et tapioca). Le programme est une bonne initiative que nous nous apprécions car elle prépare la communauté à la gouvernance locale, et l’outille pour la promotion de leur propre développement.. Je lance un appel aux partenaires afin qu’ils puissent apporter des appuis aux associations».
Monsieur Komi Mensah DJAHLIN, Inspecteur, IEPP (Inspection des Enseignements Préscolaires et Primaires) du Moyen Mono.
« Depuis l’avènement de ce programme, j’ai vraiment été sidéré par le travail abattu, surtout au niveau du fond à travers le diagnostic des problèmes des préfectures et les apports de solutions. J’ai eu à participer à quelques formations qui ont été enrichissantes pour moi. j’ai constaté que grâce au programme, la communauté est plus consciente, engagée et participative à son développement. Notre organisation a aidé à l’organisation des réunions de sensibilisation à Tohoun. J’aimerais que le corps enseignant soit aussi intégré pour participer à de tels formations».
Monsieur Mangola BLEZA, DP de l’environnement Haho.
Il a affirmé : « Nous avons apprécié les différentes actions réalisées sur le projet surtout qu’elles ont respectées les thématiques environnementales. Le coté environnemental est pris en compte dans la mise en œuvre des actions. Les cadres de la communauté sont conscients et ont le souci de restaurer les sols donc ils s’investissent dans l’application des formations reçues. L’on peut constater des actions concrètes avec des résultats et à ce rythme nous pensons que Notsè sera une communauté de référence si toutes les stratégies mises en œuvre sont respectées et prises en compte par une population plus consciente ».
Monsieur Adjévi NEGLOKPE, Président de l’APHAPH « Association des personnes vivants avec un Handicapé dans la Préfecture de Haho » a donné son opinion en disant :
« Le programme a veillé sur les planifications, le concept handicap est respecté dans les actions faites par le programme et a œuvré pour la réinsertion sociale économique ».